Album Estampes 18e siècle
(Paris, 23 octobre 1723 † 12 janvier 1797)
Élève d’Étienne Fessard, puis de Jean Daullé
Portrait de face tourné vers la droite,
Bordure ovale sur fond rectangulaire « Louis XV, roi de France » Gravure en taille-douce sur vélin de Pierre-François Basan d'après J. H. le Moine (Lemoine) État sans l'adresse d’Odieuvre (3ème état). La feuille 309*218 mm, au TC 145*100 mm. Bibl. : Portalis, Vol. 1, p. 107-125 ; IFF17, Vol. 2, p. 90, n°233.
(Leipzig, 7 novembre 1713 † Leipzig, 22 février 1767)
En buste, de 3/4 dirigé vers la droite,
sur le piédouche Baclius hic ille est, cuius dum scriptavigebunt, | Lis erit, oblectent, erudiantne magis ? | de la Monnoye. Estampe/Burin. Dim. : la feuille 40*28 cm, au TC 322*215 mm, au CP 330*223 mm. Sous le TC, à d, J. M. Bernigeroth Sc. Lipsix 1741.Pliure horizontale, petites salissures dans les marges.
Célèbre dynastie de graveurs et marchands d'estampes, les Chéreau furent actifs au XVIII° siècle. Jacques Chéreau, dit Chéreau le jeune, naquit à Blois en 1688. C'est auprès de son frère François Chéreau (1680 † 1729) qu'il apprit le métier de graveur. Avec un fonds de plus de 3 000 planches gravées, il fut l'un des graveurs, éditeurs et marchands d'estampes les plus prolifiques de son époque. Bibl. : Portalis, vol. 1, p. 378-385.
Gravure de François Chéreau († en 1729 à 48 ans) d'après le peintre Jean Raoux (1677 † 1734). « Les Portraits que Fr. Chéreau a gravés méritent préférablement d'être recueillis par les amateurs » p.59. Fondateur de la dynastie, il est agréé à l’Académie le 25 mai 1715. Pliures, déchirures. Bibl. : IFF1700, vol. 4, p. 317-331.
Gravure de François Chéreau
(1680 † en 1729), rehauts de couleurs. Avec la lettre sous le TC « A Paris chez la Vve de F. Chéreau rue S. Jacques aux 2 Piliers d’or ». Notre épreuve contrecollée sur carton d’encadrement. Dim. : 318*238 mm.
(Paris, 1604 † Dax, 1675)
Gravure au burin par Pierre Daret ; sous le portrait une inscription, autour des armes, donnant l'identité du modèle « François HANNIBAL Seigneur d'Estrèes, Marquis de | Coeuures, preer Baron et Seneschal de Boulenois, preer et plus ancien | Mareschal de France, Cheer des deux ordres du Roy, a commandé diuerses fois | les armées de sa Maté en la Vatoline, l'an 1630, il assista le Duc de Mantoue et resista | valeureusement près d'un an contre l'armée Impérialle, il eut la conduite des trou | pes du Roy qui assiegerent et prirent la ville Electorale de Treves il a ésté employé | en diverses charges Ambassades et négociations importantes, mesme de l'Ambassa | de extraordinaire à Rome sous le Pape Urbain 8 ». Avec l'adresse, à la limite inférieure du cuivre « A present ce vendent chez Louis Boisseuin rue St Iaques proche St Severin | A Paris chez Daret 1655 avec privilege du Roy ». Bibl. : IFF XVII, vol.3, p.278, n°254.
(18 mai 1703 † 20 avril 1763)
Graveur au burin de portraits, Jean Daullé est agréé et reçu à l’Académie le 2 juin 1742.
Portrait de l’évêque de Tournai (de 1732 à 1770) en buste de ¾ à gauche, dans une bordure ovale avec l’inscription FRAN. S. R. IMP. COM. IN SALM. EPUS. TORN. &c. sur un socle où est gravé à gauche Gravé par J. Daullé en 1740, au centre un cartouche aux armes. Dim. : la feuille 260*210 mm, au TC 220*162 mm, au CP 240*173 mm. Bibl. : Deslignières, n°88 ; IFF1700, vol. 6, p. 62-133, n°43.
(Liége, 19 janvier 1722 † 1776)
Gilles Demarteau dit l'aîné, naturalisé en 1746, inventeur de la gravure en manière de crayon, procédé obtenu à l'aide d'une roulette qui convient à la reproduction des dessins à la sanguine. Bibl. : IFF1700, vol, 6, p.
« la jambe droite levée, la tête appuyée sur sa main, une gourde derrière lui ». Estampe en manière de crayon à la sanguine d’après Boucher. En bas Boucher del Demarteau l’né Sculpst || du Cabinet de Madame Dazaincourt || A Paris ches Demarteau C.P.R. || N°79. Dim. : 21*14 cm. Épidermures, trous d’insectes devant de la tête du garçon. Bibl. : IFF1700, vol, 6, p. 364-365.
(1668 † 1741)
Portrait de profil gauche d'Anne de Bretagne,
Bordure ovale sur fond rectangulaire « Anne de Bretaigne | Reine de France Épouse de | Charles 8, née à Nante l’an 1476 | Elle mourut au Château de | Blois l’an 1514 » par Étienne Jahandier Desrochers à Paris chés (sic) Daumont rue St Martin. Gravure en taille douce, au burin sur Vergé avec filigrane. Dim. : La feuille (non ébarbée en bas et à droite) 270*213 mm, au TC 144*99 mm. Petites pliures marge inférieure à gauche. Ce portrait se retrouve dans l'Almanach Dauphin (Paris, Guillaume, 1751, in-8°).
(1724 † ?) Claude (ou Jean-François). Bibl. : Basan, 1789, vol. 1 p. 212.
Burin par Feradiny d’après Claude Gellée, dit « le Lorrain » (Champagne 1600 † Rome, 1682). Notre épreuve : sur vergé avec pontuseaux à l’horizontale ; la feuille h. 350*482 mm, au TC 287*451, au CP 308*468 mm. Sous le Trait Carré à gauche « Cl. Lorrain pinxit » à droite « Feradiny Sculp. », en dessous au centre « LE PETIT PASSAGE / Peint par Claude Lorrain de meme grandeur » (sic) à droite « A Paris chez Mondhard rue St. Jacques à S. Jacques ». Hist. : Feradiny a souvent interprété Claude Gellée.
(1750 † Paris, 27 janvier 1829)
« prise du chemin qui conduit à Nîsmes ». Gravure au burin sous la direction de François Denis Née (Paris, 1732 † Paris, 19 août 1817) pour le « Voyage pittoresque de la France », t. II, Languedoc, paru chez Lamy en 1787 (pl. LXIX) d’après un dessin au Lavis à l'encre de Chine et aquarelle (219*338 mm) de Jean-Baptiste-François Génillion. Boutique.
Gravure à l'aquatinte de Labrousse
d’après un dessin de Grasset de St Sauveur imprimée sur papier vert pour l’Encyclopédie des voyages contenant l'abrégé historique des mœurs, usages, habitudes domestiques, religions, fêtes, supplices, funérailles, sciences, arts, et commerce de tous les peuples : et la collection complète de leurs habillemens civils, militaires, religieux et dignitaires, dessinés d'après nature, gravés et coloriés à l'aquarelle, Paris, Pavard, 1788, 4 vol. Coloriée à la main à l'époque. Dim. : le sujet 176*115 au CP 212*151. Boutique.
« Femme Wotyake » (1788)
Gravure à l'aquatinte de Labrousse d’après un dessin de Grasset de St Sauveur
imprimée sur papier vert pour l’Encyclopédie des voyages contenant l'abrégé historique des mœurs, usages, habitudes domestiques, religions, fêtes, supplices, funérailles, sciences, arts, et commerce de tous les peuples : et la collection complète de leurs habillemens civils, militaires, religieux et dignitaires, dessinés d'après nature, gravés et coloriés à l'aquarelle, Paris, Pavard, 1788, 4 vol. Coloriée à la main à l'époque. Dim. : le sujet 171*115 au CP 212*151. Boutique.
(Paris, 8 juillet 1707 † 14 avril 1783)
Dessinateur et graveur à l’eau-forte et au burin. Charles Le Blanc a recensé 539 pièces. Bibl. : Basan ; Le Blanc, vol. 2, p. 510-515 ; Portalis, vol. 2, p.564-592.
Une des 23 planches gravées par Le Bas d’après Le Roy ayant pour sujet la Grèce. Notre épreuve : La feuille 350*480 mm, au TC 287*452, au CP 307*470. Bibl. : Le Blanc, n°346-369.
Gravure d’après des Rais ; inscription donnant l'identité du modèle : CATINAT | Maréchal de France.
« Sciences, Arts et Talents, | dépendants du sens Moral. | 2e Traité de la raison dans l’Homme | 5e Volume Année 1787 ».
Planche pour l’ouvrage de l’abbé Étienne Brémont (1714 † 1793) « De La Raison Dans L’Homme : Ouvrage où l'on examine l'étendue de ses connoissances, les bornes de ses facultés, les forces de ses motifs, l'origine de ses doutes et les causes de ses erreurs, les principes de sa certitude, et les fondemens de sa science. Seconde Région. Les Mœurs. La Législation. Seconde Traité : De la Raison dirigée dans la recherche du bien, par le Sens moral » (Paris, Veuve Herissant, 1787. Dim. : la feuille 303*220 mm, le sujet 278*193 mm. Petites salissures ne nuisant pas à la lecture. Pliures verticales et horizontales d’usage.
Estampe/Burin par Mirel
d’après Jean-Baptiste Greuze (Tournus, 1725 † Paris, 1805). Lettre découpée autour du blason. Enrichie d’une annotation autographe au dos, coin supérieur droit, Mon fils recevez cette bourse | Elle est légère, mais, en la ménageant | bien| Et si, pour le travail vous ne négligez | rien | D’un riche trésor c’est | la | source | xxx somme modique est un excellent lot | Avec le don de votre fille | Je n’oublierai jamais que sa meilleure | dot | Sont les vertus de sa famille. Le tableau du salon de 1761, conservé au musée du Louvre, a été commenté par Diderot : C'est un père qui vient de payer la dot de sa fille. Le sujet est pathétique, et l'on sent gagner une émotion douce en le regardant. La composition m'en a paru très belle ; c'est la chose comme elle a dû se passer. Il y a ici douze figures ; chacune est à sa place, et fait ce qu'elle doit. Comme elles s'enchaînent toutes ! Comme elles vont en ondoyant, en pyramidant ! Je me moque de ces conditions ; cependant quand elles se rencontrent dans un morceau de peinture par hasard, sans que le peintre ait eu à la pensée de les introduire, sans qu'il leur ait rien sacrifié, elles me plaisent. Nota : la gravure est dans le même sens que le tableau original réalisé par Greuze, deux ans après son propre mariage, pour le marquis de Marigny, Directeur des bâtiments du Roy. Dim. : 40*46 cm.
Francesco Morelli dit François Morel
« su la viatiburtina, il quate su rifatto da Tiberio Paluzio che presso del Ponte si vedeil Sepolcro della sua famiglia ». Gravure d’après Jakob Philipp Hackert (Prenzlau, 5 septembre 1737 † San Piero di Careggi, 28 avril 1807). Notre épreuve : Le titre est imprimé dans les deux langues : Italien/Français « Vue du Pont Lucano sur la voie Tibertine, fait refaire par tibere Plautius on voit près du Pont le Tombeau de cette Maison », In Roma presso Agapito Frazetti at Corso. Trois petites déchirures dans les marges avec atteinte au sujet (2 en haut, 1 à droite) sans nuire à la lecture. Boutique.
(1564 † 1637)
Estampe/Gravure. Portrait en buste dans un ovale, tête et épaules, dirigés vers la gauche, portant une collerette garnie de dentelle, une armure décorative, l'Ordre de la Toison d'or suspendu à un ruban autour de son cou. Dim. : 150*117 mm. Lettres sous le portrait avec des informations sur le modèle et la date ainsi qu’autour de l'ovale. Coupée autours de la bordure ovale, collée sur vélin. Boutique.
Fils du graveur Etienne Picard, élève de son père et de Sébastien Le Clerc, dessinateur et graveur; Bernard Picard s'installe à Amsterdam comme graveur et marchand d'estampes à l'étoile. Bibl. : Portalis, vol. 3, p. 302-305.
Estampe/Gravure. Portrait en buste de Frédéric V, duc d'Autriche représenté dans un ovale légèrement tourné vers la droite. Au-dessous ses armoiries. Trouée en haut au milieu dans le pli de la tenture à un cm au-dessus de la Croix de la couronne de Frédéric.
Eau-forte. Au bas de la planche : « Approchez de ce tombeau, Chrestiens, et venez reconnoitre les merveilles d'un Dieu qui y ouvre le trésor de ses grâces ». Hist. : François de Pâris (Paris, 30 juin 1690 † Paris, 1er mai 1727). Nota : La notice BNF n'indique pas le nom de l'auteur de la gravure. Dim. : la feuille 290*404 mm, au CP 264*396. François de Pâris; 18e siècle; Religion; Christianisme; Jansénisme; Personnalités; Scènes historiques; Miracles; Maladies; Convulsionnaires;
Portraits en buste aves éléments biographiques en dessous. Avec représentation gravée du baptême de Clovis à Reims.
Épreuve sur feuille vergé non ébarbée, Série : Portraits des rois de France depuis Pharamond jusqu'à Louis XIV. À Paris chez Sélis rue S. Dominique faubourg S. Jacques. Nota : Les figures sont inversées par rapport à l’édition vendue « à Paris chez Berey, graveur, rue S.t-Jacques devant la rue du Plastre en la maison dite la vieille poste au 2.e appartement 1711. Avec permission et approbation ». Sur Vergé, la feuille, non ébarbée, 407*26é mm, au TC 260*170 mm, au CP 266*180 mm. Au-dessus du TC à d « planche 2 », en-dessous du TC à g « à Paris chez Selis rue S. Dominique faubourg S. Jacques ».
Portraits en buste aves éléments biographiques en dessous. Avec représentations gravées du « Palais bâti de neuf pour Philippe de Bel »
et des « Chevaliers de l’ordre des Templiers brûlés pour leurs impiétés ». Série : Portraits des rois de France depuis Pharamond jusqu'à Louis XIV. À Paris chez Sélis rue S. Dominique faubourg S. Jacques. Sur Vergé, la feuille, non ébarbée, 407*265 mm, au TC 260*170 mm, au CP 266*180 mm. Au-dessus du TC à d « Planche 9 », en-dessous du TC à g « à Paris chez Selis rue S. Dominique faubourg S. Jacques ».
Portraits en buste aves éléments biographiques en dessous.
Série : Portraits des rois de France depuis Pharamond jusqu'à Louis XIV. À Paris chez Sélis rue S. Dominique faubourg S. Jacques. Sur Vergé, la feuille, non ébarbée, 410*263 mm, au TC 270*170 mm, au CP 289*184 mm. Au-dessus du TC à d « Planche X ».
Portraits en buste aves éléments biographiques en dessous. Avec représentation gravée du « supplice de la Pucelle d’Orléans (Jeanne d’Arc) à Rouen ». Série : Portraits des rois de France depuis Pharamond jusqu'à Louis XIV. À Paris chez Sélis rue S. Dominique faubourg S. Jacques. Sur Vergé, la feuille, non ébarbée, 410*263 mm, au TC 270*172 mm, au CP 282*189 mm. Au-dessus du TC à d « Planche XI », en-dessous du TC à g « à Paris chez Selis rue S. Dominique faubourg S. Jacques ». Photo.
(Angoulême (Charentes), 1502 † Paris, 1590)
Estampe/Gravure représentant, lors des Guerres de Religion, la bataille de Dreux, le 19 décembre 1562, gagnée par les catholiques dirigés par le connétable de Montmorency, le duc de Guise et Jacques d'Albon de Saint-André face aux protestants commandés par le prince de Condé et l'amiral de Coligny. Dim. : 46*40 cm, sous un double encadrement, le premier constitué de baguettes dorées entourant la gravure (48*42 cm), l’ensemble pris dans une caisse dite américaine (545*540 mm).
Planche n°xxx de l'ouvrage « Iconographia Phytanthoza »
réalisé entre 1737 et 1745 ; gravure sur vergé rehaussée à la main dimensions au cuivre...
(Innsbruck, 29 mai 1733 † Vienne, 11 mai 1771)
Peintre, dessinateur, graveur autrichien.
Estampe/Eau-forte. Au TC 63*120 mm, au CP 70*127 mm, la feuille 78*137 mm. Signée à la pointe dans la cuvette au centre, à droite du coin inférieur droit dans la cuvette le chiffre 7.
Gravure. Charles-Joachim Colbert,
évêque de Montpellier Colbert, évêque de Montpellier et la transfiguration de ses œuvres en langues de feu Estampe publiée dans les Nouvelles ecclésiastiques, De 1728 à 1803 une revue clandestine d'une rare violence enflamme les débats. Créées pour défendre la réalité des miracles du diacre Paris et des convulsions du cimetière Saint Médard de Paris, les Nouvelles ecclésiastiques sont bien sûr interdites, mais grâce à une organisation sans faille, elles se faufilent partout. Dim. : 275*226 mm (collée sur carton aux angles, déchirure, sans manque de 3 cm en hd à la limite des flammes sous les lettres LLIER).
Gravure sur bois avec rehauts de couleurs. Au TC 157*230 mm. Au verso, extrait du livre Theatrum Urbium d’Abraham Saur (1545 † 1593) publié en 1595 par N. Basse, et en 1608 par Adrianus Romanus à Francfort. Reprise de la gravure publiée en 1575[1] in La Cosmographie universelle de tout le monde en laquelle, suivant les auteurs plus dignes de foy, sont au vray descriptes toutes les parties habitables & non habitables de la terre et de la mer, leurs assiettes & choses qu'elles produisent: puis la description & peincture topographique des régions, la différence de l'air de chacun pays d'où advient la diversité tant de la complexion des hommes que des figures des bestes brutes. Et encor l'origine, noms ou appellations tant modernes qu'anciennes & description de plusieurs villes, citez & isles avec leurs plantz & pourtraictz & sur tout de la France, non encor iusques à present veus ny imprimez. S'y voyent aussi d'avantage, les origines, accroissemens & changemens des monarchies, empires, royaumes, estatz & republiques: ensemble les moeurs, façons de vivre, loix, coustumes, & religion de tous les peuples & natio[n]s du monde: & la succession des papes, cardinaux, archevesques & evesques, chacun en leur diocese, tant anciens que modernes: Avec plusieurs autres choses, le sommaire desquelles se void en la page suivante auteur en partie Munster, mais beaucoup plus augmentée, ornée & enrichie par François de Belle-Forest, Comingeois, tant de ses recerches [sic], comme de l'aide de plusieurs memoires envoyez de diverses villes de France, par hommes amateurs de l'histoire & de leur patrie Avec trois tables, l'une des plantz & pourtraicts des isles et des villes. La seconde, des tiltres & chapitres. Et la troisiesme, de tous les noms propres & des matières co[m]prises en tout l'oeuvre.
[1] A Paris chez Nicolas Chesneau, rue S[aint] Iaques, au chesne verd [ou "A Paris chez Michel Sonnius, rue S[aint] Iaques, à l'escu de Basle"] M.D.LXXV. Avec privilège du roy et de la cour.
V. P. Fr. Joannis â Jesu Maria | Trinitarii in singulas | totius Anni Dominicas | 1729. Estampe/Burin anonyme. Épreuve collée sur velin (312*246 mm), au TC 272*177 mm.