Paris Gravures et dessins
Estampe/Eau-forte. Signée au crayon sous le CP à droite. La feuille 160*247 mm, au CP 88*140 mm. 30 €
(Paris, 31 août 1867 † 28 février 1931)
Estampe/Eau-forte originale ; La feuille h. 282*183mm, au TC 185*150 mm. Inscription Eug. Béjot 1903 Paris St Nicolas des Champs dans la planche en bg. Épreuve sans la lettre du tirage à part de La Gazette des Beaux-arts de mai 1903 (p. 391) pour illustre un article d’E. Pottier « Jules Clarétie Du Ier au XXe : Les Arrondissements de Paris, Vingt eaux-fortes originales d’Eugène Béjot » (Société de propagation des Livres d'art, 1903). Exposée au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts de 1903 (n°2b du catalogue). Bibl. : Janine Bailly-Herzberg, Dictionnaire de l'estampe en France 1830-1950, Arts et Métiers Graphiques, 1985, p. 25-26. 80 €
(Paris, 6 novembre 1882 † Méounes-lès-Montrieux, 4 novembre 1962)
Poète, peintre et graveur, Gabriel Belot expose aux Indépendants dès 1910, puis à la Société nationale des Beaux-Arts dont il devient sociétaire. Il a illustré de nombreux ouvrages dont Pierre et Luce (1921) du nivernais Romain Rolland.
Estampe/Bois en deux tons sur Chine Au crayon, Sbd sous le sujet. Prime du n° de janvier 1918 de la Revue d'Art et de Littérature La Forge, Paris, Librairie d'action d'art de la ghilde Les Forgerons, 16 rue Monsieur le Prince.
(1845 † 1935)
Estampe/Eau-forte originale. Tirage de la Revue de l'Art Ancien & Moderne (avril 1897), Imp. Porcabeuf à Paris. Gravure exposée au Salon de 1898 (n°4559) Sur vélin, la feuille 287*219 mm, au TC 203*133 mm, au CP 234*165 mm. 30 €
(Saint-Germain-en-Laye, 16 mars 1882 † Boulogne-Billancourt, 23 juin 1971)
Élève d’Amand Gautier et Jobbé-Duval, peintre et graveur Aimé Dallemagne expose à partir de 1905 au Salon des Artistes Français où il obtient une médaille de 3ème classe (1914) et une médaille de 2ème classe (1921).
Estampe. Eau-forte originale, Sbd à la pointe dans la planche. Au crayon, sous le CP, contresignée en bd, justifiée en bg 55/200 à gauche d’une remarque représentant des bateaux sur la Seine au pied du pont. Vue animée avec deux barques de pêcheurs. 453*245 mm. Tâche d’humidité dans la marge inférieure à la limite du sujet, épreuve pliée en haut sur 3 cm pour encadrement.
(Paris, 1747 † Paris, c. 1819)
Graveur-vignettiste à l’eau-forte, élève de Le Bas. Bibl. : Béraldi, vol. 6, p. 68-73 ; IFF1800, vol. 7, p. 202-207, n°32 & 39.
Eau-forte, monogrammée JDB en bg ; une des douze vignettes de la Suite des cris des Marchands ambulants de Paris réunies avec d’autres cahiers dans la Recueil de cent sujets (1813) « une des plus jolies productions de Duplessi-Bertaux » selon Béraldi. 83*59 mm. Photo. 40 €
Eau-forte, monogrammée JDB en bd ; une des douze vignettes de la Suite des cris des Marchands ambulants de Paris réunies avec d’autres cahiers dans la Recueil de cent sujets (1813) « une des plus jolies productions de Duplessi-Bertaux » selon Béraldi. 83*59 mm.
Eau-forte ; une des douze vignettes de la Suite des cris des Marchands ambulants de Paris réunies avec d’autres cahiers dans la Recueil de cent sujets (1813) « une des plus jolies productions de Duplessi-Bertaux » selon Béraldi. 83*59 mm. Photo. 40 €
Eau-forte, monogrammée JDB en bg ; une des douze vignettes de la Suite des cris des Marchands ambulants de Paris réunies avec d’autres cahiers dans la Recueil de cent sujets (1813) « une des plus jolies productions de Duplessi-Bertaux » selon Béraldi. 83*59 mm. Photo. 40 €
Affiche. Réédition des années 1980 par l’artiste. Art Déco. 500 €
Eau-forte originale d’Armand Guillaumin (1841 † 1927) sur Chine collées sur vélin tirées par Charles Delatre pour Paris à l’Eau-forte de Richard Lesclide, 2ème année, n°33 du 9 novembre 1873, Autre titre Une Longue route (ou Entrée de village p. 221, au TC 70*90 mm, monogrammé AG à rebours en bd) en cul-de-lampe d'un poème signé E. B. Au Verger (p. 220, 222). (Réf. : Kraemer D 7e). Complet de ses CINQ eaux-fortes par Frédéric Regamey (1849 † 1925) La dernière scène de Marie Tudor (p. 209), Un Quai de Londres sous Henri VIII (p. 217), par Jules Adeline (Rouen, 1845 † 1909) Le Guetteur de nuit (p. 219), Deux Paresseux (p. 220). Photo. 150 €
Eau-forte originale d’Armand Guillaumin (1841 † 1927) sur Chine (49*79 mm, au TC 46*75, ns) collées sur vélin tirées par Charles Delatre pour Paris à l’Eau-forte de Richard Lesclide, 2ème année, n°31 du 26 octobre 1873, Réf. : Kraemer D 7b. Complet de ses SIX eaux-fortes par Breton (1), Sahib (3, pseudonyme de Louis Ernest Lesage (1847-1919, autre pseudo. Ned. Bibl. : IFF1800, vol. 14, p. 167-170, Collab. à PEF non citée. Photo.
Dessin au Fusain, en bas au crayon, titré La maison de Nicolas Flamel – Paris, signé et daté, 60*48 cm. Photo. 200 €
(Paris, 5 juillet 1904 † Nogent-sur-Marne, 25 décembre 1994)
Graveur à l’eau-forte, Paulette Humbert a illustré les Procédés originaux d’illustration (La gravure sur cuivre. La Tradition, 1951).
Estampe/Eau-forte. Signature gravée dans le coin inférieur droit de la planche P. HUMBERT, contresignée au crayon en dessous Paulette Humbert. Carte de vœux sur deux pages à l'italienne (247*325mm) Belle cuvette bien prononcée (160*222mm) Sur le premier plat, l'inscription suivante est imprimée dans le coin inférieur droit L'Union Latine d'Éditions | vous présente | ses vœux les meilleurs | pour l'Année 1952. Bibl. : IFF1800, vol. 10, p. 540. 100 €
(Bordeaux, 27 novembre 1827 † Nogent sur Marne, 29 juillet 1886)
Élève de Gigoux, Maxime Lalanne participe aux Salons de 1852 à 1880 en qualité de peintre, fusiniste et graveur à l’eau-forte : ses débuts dans la lithographie datent de 1853 avec une planche tirée par Joseph Lemercier. Il n’aborde l’eau-forte qu’en 1862 après une période de dessinateur et fusiniste. L'année suivante, il expose sa première eau-forte au salon, « La Rue des Marmousets » (n°2675), publié par la Société des Aquafortistes. Il ne cessera de présenter son œuvre gravé (excepté en 1868, 1871, 1884) jusqu'en 1887 avec une gravure d'interprétation, « Mantes la Jolie » d'après Corot. Promoteur et praticien habile de la technique, il adhère à la Société des Aquafortistes à laquelle il donne plusieurs pièces pour l'album des « Eaux-fortes modernes », et, publie un Traité de la Gravure à l’Eau-forte en 1866 favorablement accueilli par le critique Léon Lagrange « Lalanne, devenu en peu de temps un des maîtres du genre, n'a pas voulu garder pour lui seul sa science acquise » (La Gazette des Beaux-arts, mars 1866, p.296). Bibl. : Bradley William Aspenwall « Maxime Lalanne », The Print-Collect’s quaterly, Boston, 1913, vol. 1, p. 70-86 ; HBNIII.
Dessin titré et signé en bd Couvent des Carmes | Lalanne. À vue 115*125 mm (Sous passe-partout 24*30 cm). Hist. : L’Église Saint-Joseph des Carmes édifiée en 1625 a traversé plusieurs moments historiques et connu de nombreuses affectations avant de devenir aujourd’hui la Chapelle de l’Institut Catholique de Paris Photo. 150 €
(Stamford (USA), 1884 † 1972)
Estampe/Gravure sur Bois originale tirée sur vélin pour la Revue de l’Art ancien et moderne (juillet 1909). Monogramme dans la planche. Exposée au Salon de La Société Nationale des Beaux-arts, n°2213. La feuille 300*235 mm, le sujet 205*160 mm. TBE. 60 €